Kinésiologie et addictions : que peut-elle réellement apporter ?
La kinésiologie est une réelle aide pour libérer d’une dépendance au tabac, à l’alcool, à l’amour.. Elle offre, en effet, une expérience de libération des comportements addictifs. Explorez comment le corps, peut, séance après séance, retrouver son authenticité et son équilibre.
Qu’est-ce qu’une addiction ?
Un comportement compulsif lié à une substance
Une addiction se caractérise par un comportement répété et incontrôlable face à une substance. Lorsque de telles actions sont répétées, le trouble s’installe durablement. Il affecte alors la santé de la personne et sa qualité de vie.
Un mécanisme de dépendance qui s’inscrit dans le cerveau
Fumer une cigarette, boire un verre d’alcool, etc. Toute addiction génère un soulagement immédiat, puis un manque qui pousse la personne à recommencer rapidement. Plus les situations se répètent et plus elles renforcent le cycle et rend un individu dépendant.
La kinésiologie travaille sur la gestion des émotions de dépendance. Elle aide à libérer la personne de comportements compulsifs, en complément d’un traitement médical.
Pour quels types d’addictions la kinésiologie est-elle sollicitée ?
Les séances de kinésiologie offrent à un individu dépendant des solutions pour mieux gérer ses émotions, et ce, dans différents contextes addictifs.
La kinésiologie, le tabac et l’alcool
La kinésiologie est-elle efficace pour toutes les addictions ? La consommation excessive de substances engendre une dépendance physique et un stress quotidien. Les séances chez un kinésiologue permettent à la personne de :
- Mieux gérer ses émotions ;
- Se libérer des automatismes en lien avec la dépendance.
Et pour les autres comportements compulsifs ?
Cette méthode est aussi efficace sur d’autres troubles addictifs :
- L’alimentation excessive ;
- Les achats compulsifs ;
- La dépendance aux réseaux sociaux ;
- Le jeu pathologique ;
- Et bien d’autres encore.
L’efficacité de la kinésiologie dans les addictions affectives
Dans un couple, une relation excessive est souvent en lien avec la peur de perdre l’autre. Elle provoque alors une anxiété constante.
La kinésiologie aide à rétablir le mieux-être affectif et à retrouver un équilibre intérieur durable.
Le praticien dispose, en effet, de différentes techniques pour aider son consultant à retrouver son équilibre. Il libère ainsi les blocages liés à la mémoire émotionnelle ou à l’enfant intérieur.
Étapes typiques du travail kinésiologique pour une addiction
Un échange pour identifier les situations addictives
Les premiers échanges aident le kinésiologue à comprendre :
- L’histoire de la personne ;
- Ses antécédents ;
- Ses habitudes addictives.
Le test musculaire, une pratique pour identifier le blocage émotionnel
Le test musculaire reste indispensable pour déterminer les schémas inconscients inscrits dans la mémoire. Il initie le processus de libération. En pratique, le kinésiologue exerce une légère pression sur un muscle. Il observe ensuite sa réaction :
- Un muscle tonique traduit un équilibre émotionnel réel.
- Une faiblesse musculaire révèle un stress ou un blocage lié à une mémoire émotionnelle.
Un suivi personnalisé à l’aide de techniques différentes
Le kinésiologue utilise ensuite différentes techniques issues de la psychologie énergétique. Chaque séance permet ainsi de :
- Libérer les tensions ;
- Diminuer les peurs ;
- Renforcer la gestion émotionnelle.
Généralement, le suivi s’organise autour de plusieurs séances de kinésiologie. Le nombre de rendez-vous varie en fonction de la dépendance de la personne et de sa motivation.
Comment intégrer la kinésiologie à un parcours de sevrage ?
La kinésiologie permet un accompagnement sur mesure dans un parcours de sevrage. Mais elle reste complémentaire à un traitement médical.
Cette méthode permet, en effet, de déterminer et libérer les blocages présents dans la mémoire émotionnelle. Elle propose des outils concrets pour reprendre sa santé en main et retrouver une qualité de vie optimale.
Comment choisir un praticien de kinésiologie compétent ?
Vous vous demandez notamment comment savoir si vous avez affaire à un bon kinésiologue. Pour répondre à cette question, il convient de vérifier la certification du praticien.
La confiance entre le kinésiologue et son consultant reste la pierre angulaire d’un tel accompagnement. Le professionnel doit créer un climat sécurisant.
Quant à son bénéficiaire, il doit absolument se sentir écouté. Si ce n’est pas le cas, il vaut mieux se tourner vers un autre professionnel.
FAQ
Peut-on utiliser la kinésiologie pour tous types d’addictions ?
Oui. Les techniques de kinésiologie peuvent être utilisées pour de nombreux troubles compulsifs, comme l’alcool, le tabac ou encore l’addiction à la nourriture. Si la kinésiologie est un soutien pour gérer son stress et ses émotions dans ces circonstances, elle ne remplace pas un traitement médical.
Combien de séances faut-il en moyenne pour percevoir un changement ?
Le nombre de séances diffère d’une personne à l’autre et selon le type d’addiction. Certaines trouvent l’apaisement dès la première séance. Pour d’autres, la gestion du stress et des émotions nécessite plus de consultations. En moyenne, le processus demande entre 3 et 5 séances.
Peut-on faire une séance pendant un traitement médical ?
Tout à fait. Il est possible de suivre des séances de kinésiologie en complément d’un traitement médical ou psychologique. Elles viennent compléter le sevrage, donnant à la personne des solutions supplémentaires pour bien gérer son stress, ses peurs et les situations difficiles qu’elles rencontrent.
Notez que si la Sécurité sociale ne prend pas en charge ce type de soin. Mais certaines mutuelles peuvent rembourser votre séance chez un kinésiologue.
Faut-il croire dans la méthode pour que cela marche ?
Non. La kinésiologie repose sur un dialogue entre le corps et l’inconscient. Même une personne qui ne croit pas à ce processus de guérison peut ressentir un mieux-être.
Quels effets secondaires ou réactions possibles ?
Les dangers de la kinésiologie restent très limités. Lors d’une séance, le cerveau intègre de nouvelles informations. Le processus de libération d’une addiction peut parfois réveiller des peurs. Il engendre aussi une fatigue passagère ou une grande détente. Toutefois, le malaise n’est que temporaire.