Radiesthésie médicale

Selon Albert Einstein, tout est énergie et vibration. Chaque être vivant, végétal ou animal, ainsi que les matières inertes, sont faits d’atomes en mouvement perpétuel et émettent ainsi des vibrations. Ces éléments disposent de fréquences vibratoires différentes et ne sont perceptibles que par quelques personnes détentrices d’une certaine sensibilité. 


Étymologiquement, le mot radiesthésie vient du préfixe latin « radius » (rayon), et du grec « aisthesis » (sensation), soit la « sensibilité aux rayonnements ». La radiesthésie est considérée comme un art divinatoire, basé sur la perception extrasensorielle de certains individus à détecter des ondes vibratoires émanant de différents corps visibles ou invisibles. 


Les radiesthésistes utilisent des instruments de captation d’ondes, comme le pendule, la baguette de sourcier ou la baguette de coudrier. Qu’il soit en pierre ou en métal, conique, dodécaèdre ou usiné comme le pendule égyptien, le pendule est une masse pesante suspendue à un fil souple. Taillée dans une branche de coudrier ou noisetier, la baguette de sourcier, quant à elle, est constituée de deux tiges, reliées à une extrémité (sous forme d’Y). 


La pratique de la radiesthésie s’étend sur de nombreux domaines. Elle permet de repérer des objets cachés ou perdus, de localiser des sources d’eau ou des minerais. De tout temps, l’homme est habitué à utiliser un pendule ou un bâton pour trouver de l’eau. En géobiologie, la radiesthésie sert à détecter les perturbations des réseaux cosmo-telluriques. 


La radiesthésie médicale s’appuie sur le pendule pour identifier la source d’un dysfonctionnement (nerveux, circulatoire, digestif…), voire trouver la bonne thérapeutique afin d’y remédier. Différents thérapeutes intègrent la radiesthésie dans leur pratique.