Mémoire du corps

Le cerveau n’est pas le seul à avoir une mémoire. Chaque individu dispose également d’autres mémoires parmi lesquelles se distingue, la mémoire du corps. Selon les scientifiques, cette dernière est le siège de tous les ressentis passés et oubliés d’un individu. Également appelée mémoire traumatique, elle garde notamment l’empreinte du traumatisme d’enfance.


Si le cerveau réagit aux sensations de froid ou de fatigue, le corps réagit à cause du traumatisme. Il en existe plusieurs types comme les traumatismes orthopédiques (affections articulaires), chirurgicaux (blessures spécifiques) et obstétricaux (pression physique pendant l’accouchement). 

Sans oublier les traumatismes psychologiques, appelés mémoires émotionnelles du corps, ils résultent généralement d’un événement choquant (décès d’un proche, violence sexuelle, accident, etc.) qui entraîne une séquelle psychologique. Par leurs souffrances, les victimes de traumatismes éprouvent, par exemple, des angoisses et se retrouvent dans un état de stress.


Toutes ces formes de traumatisme se gravent ainsi dans la mémoire corporelle selon la nature des événements traumatiques qui se présentent. Elles s’y impriment également en fonction de la période d’intervention de ces moments et l’état de santé initial du sujet. En conséquence, ce processus corporel occasionne des symptômes douloureux, mais également des blocages émotionnels. 


Heureusement, il existe une technique permettant de faire face aux chocs émotionnels et de dépasser le traumatisme. Il s’agit de la kinésiologie, une pratique d’accompagnement pour surmonter les traumatismes. Le kinésiologue fait appel à la mémoire corporelle à partir d’un test musculaire permettant d’évaluer le tonus des muscles. 


Sa pratique démontre que le corps a enregistré tous les moments relevant d’un stress dans le passé. Par ce test, le praticien tend à obtenir des informations et réponses sur les origines de ce mal-être. La technique permet dès lors de libérer le corps de cette charge émotionnelle pour ainsi rétablir son certain équilibre de vie.


Le kinésiologue n’établit ni diagnostic, ni traitement, ni pronostic, ni prescription médicale, ni régime alimentaire, ne fait aucune prescription médicale et ne demande jamais d’interrompre un traitement médical, rappelle aux consultants que le kinésiologue n’est ni médecin ni thérapeute et qu’ils doivent impérativement consulter au delà du champ des symptômes, s’abstient de présenter la kinésiologie en termes laissant croire qu’il s’agit d’une méthode de guérison et donc d’éviter les langages et / ou termes médicaux et ce, sur tous supports de communication.