Médecine tibétaine

Utilisée par les Tibétains, notamment par le moine tibétain depuis la nuit des temps, la « médecine tibétaine » est une pratique naturelle inscrite dans les « Quatre tantras ». Cette discipline intègre certaines pratiques de la médecine douce chinoise, grecque et de l’Ayurveda. Très populaire dans la culture tibétaine, cette thérapie alternative s’appuie sur une démarche holistique. Elle considère l’être humain non pas comme un être isolé, mais comme un organisme intégré dans son environnement.


Selon les principes de la médecine tibétaine, la cause d’une maladie est basée sur les trois poisons spirituels, à savoir la haine, l’ignorance et l’avidité. Ces derniers influent, à leur tour, sur les trois énergies corporelles, dont l’air (chaque mouvement du corps humain et de l’esprit), la bile (différentes formes de chaleurs corporelles) et le flegme (tous les liquides du corps). Ces trois énergies gèrent la fonction vitale de l’organisme humain. De plus, elles sont étroitement liées aux cinq éléments de la médecine non conventionnelle chinoise (terre, eau, feu, air et éther).


D’après cette pratique ancestrale, une personne est en bonne santé (physique et spirituelle) si les interactions entre les trois énergies corporelles sont en équilibre. Par contre, un déséquilibre énergétique peut se traduire par une apparition de maladies et un déficit de vitalité. 

La médecine tibétaine vise notamment à maintenir le bon équilibre énergétique de ses pratiquants. 


Attention, la médecine tibétaine ne repose sur aucun fondement scientifique. Elle appelée « médecine » à tort dans la mesure où elle ne relève pas en réalité d’une profession de santé. En aucun cas cette pratique ne peut se substituer à un traitement médical quelle que soit la maladie en question. 


Le kinésiologue, quant à lui, est un spécialiste de la gestion du stress. Il s’attache au bien-être global (émotionnel et mental) d’un individu. Le kinésiologue n’établit ni diagnostic, ni traitement, ni pronostic, ni prescription médicale, ni régime alimentaire, ne fait aucune prescription médicale et ne demande jamais d’interrompre un traitement médical, rappelle aux consultants que le kinésiologue n’est ni médecin ni thérapeute et qu’ils doivent impérativement consulter au delà du champ des symptômes, s’abstient de présenter la kinésiologie en termes laissant croire qu’il s’agit d’une méthode de guérison et donc d’éviter les langages et / ou termes médicaux et ce, sur tous supports de communication.

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