Iridologie

L’iridologie représente une approche pseudo-scientifique visant à évaluer l’iris ou la partie colorée de l’œil. Cette dernière serait, d’après les adeptes de l’iridologie, un véritable concentré d’informations afin de dépister d’éventuels maux. Pourtant, cette pratique ne repose sur aucune preuve scientifique. Toujours d’après ses adeptes, depuis des millénaires, l’étude des iris serait considérée comme un outil d’analyse servant à détecter visuellement les origines du stress. 

En clair, l’iridologie constituerait une méthode d’investigation permettant d’apprécier les prédispositions, les forces et faiblesses organiques entraînant des troubles (physiques et émotionnels). Il serait question de faire un bilan corporel en observant la vitalité du consultant. 


Malgré la grande diversité de coloration d’iris, il n’existe que deux principales constitutions, à savoir, les yeux bleus et les yeux marrons. 


Par ailleurs, les adeptes de cette technique avancent que la cartographie irienne permettait de dénicher l’état de santé, dont les pathologies, en analysant les iris. Aucune preuve scientifique ne vient prouver cet argument. 


Tout comme la kinésiologie, l’iridologie ne peut en rien prétendre guérir une maladie, mais plutôt à adopter des modes préventifs. 


Lors d’une séance d’iridologie, le praticien rechercherait les causes du déséquilibre physiologique du client. Les analyses se feraient à l’aide d’une loupe grossissante et d’un iridoscope. À titre informatif, une séance d’iridologie dure environ une dizaine de minutes. Les signaux physiques liés au stress se liraient notamment par la couleur de l’iris de l’œil. En partant de la pupille, chaque partie de l’iris correspondrait à une région spécifique du corps humain. Cette partie centrale de l’œil constituerait une zone intestinale, nerveuse, énergétique, organique et circulatoire.


Kinésiologie et iridologie font partie des pratiques de soins non conventionnelles. Pour autant, ces deux pratiques sont très différentes l’une de l’autre et n’ont même absolument rien en commun. 

En kinésiologie, les tests musculaires servent à dénicher les origines des stress du consultant. 


En somme, quoique différentes, toutes ces pratiques de soins non conventionnelles ont en commun de ne pas être reconnues, de n’avoir aucun fondement scientifique et de ne jamais se substituer à une prise en charge médicale. 

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